Le texte percute les crochets
Petit souci récurrent: lorsque je veux rentrer un petit commentaire au-dessus de la portée, je fais donc Ctrl+T pour entrer une zone de texte.
Dans le cas présent, cette zone vient percuter, se superposer aux crochets des doubles croches donc. Impossible de vérifier ce que l'on tape (premier fichier)
. Certes, en tapant une seule lettre, puis en faisant glisser la zone plus au-dessus, on peut s'en sortir éventuellement. Mais ici, c'est tellement confondu et tellement peu visible que ça devient un défi!!
Comment faire donc pour que cette zone de texte prenne "de l'air" par rapport aux hampes et crochets? Merci.
En deuxième fichier, mon travail d'hier soir (le plus difficile pour l'instant: les trois voix, ça se percutait souvent, puis décaler les basses, réduire la taille des hampes... je me suis bien amusé...!!)
Fichier attaché | Taille |
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tude 27.jpg | 60.64 KB |
Leçon 27, Sor-Coste.mscz | 7.6 KB |
Commentaires
Oups... je viens de penser (trois secondes après avoir envoyé le message, c'est malin !!) qu'on pouvait s'en sortir en changeant temporairement le sens des hampes, taper son texte, puis remettre le tout d'aplomb. Autre(s) solution(s) peut-être qui éviteraient d'utiliser cette manip. ? Merci.
En réponse à Oups... je viens de penser par cadiz1
Il y a plus permanent et simple : dans "Style-Editer les styles de textes" pour les textes de portée de changer la valeur de la position y ( valeur positive = +bas et valeur négative = +haut ). Attention ! modifier un style n'agit pas sur ce qui est déjà écrit mais sur ce qui va être écrit, il faut donc modifier le style avant d'écrire. Pour surprenant que ça puisse paraître ça permet de mettre un style différent à un texte en particulier si nécessaire.
En réponse à Il y a plus permanent et par Miré
Merci Miré de ton aide :-)
J'ai mis (un peu au hasard!) la valeur -8 dans le champ Y, et c'est bon, le pb est résolu.
Dans la même fenêtre, je ne sais pas trop à quoi correspondent les cadres X, et encore moins les relX et relY (!!), mais bon, à chaque jour suffit sa peine, n'est-il pas ?