espacements et décalages
Le paramétrage prévu dans Style des textes/Doigtés/Décalage ne semble pas fonctionner ?
Le paramétrage prévu dans Style des textes/Doigtés/Décalage ne semble pas fonctionner ?
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Commentaires
ne fonctionne effectivement pas
il semble que cela soit pour la version 2
pour l'instant on peut sélectionner tous les doigtés (tous les similaires)
puis cliquer droit sur l'un d'eux et aller voir dans propriétés (les modifs résistent à la sauvegarde)
Prof de violon et alto, j'utilise les doigtés en permanence, et je trouve que le système choisi pour l'à défaut des doigtés n'est pas judicieux. Les chiffres se retrouvent en majorité dans la portée ce qui n'est pas l'usage (qu'en pense Jall2?)
Je préfère le système Encore qui place par défaut dans l'axe de la tête de note juste au dessus (ou, au choix, en dessous) de la portée avec la possibilité d'en modifier l'éloignement par un raccourci clavier (flèche?, comme pour gérer les articulations)
En réponse à La gestion des styles (tous) par ritmus
Le graveur les place manuellement, et la grande règle est : aucune collision. La question, dans ce cadre, ne se pose pas.
En revanche, les photocomposeuses d'avant les micro-ordinateurs, pilotées par des calculateurs, comme je l'ai écrit dans d'autres posts, permettaient de "programmer" leurs positions mais avec des manipulations très contraignantes ( sauter à la corde sur un hamac en jouant du clairon, un vrai casse-g... ), les limites et possibilités de ces machines étant atteintes voire dépassées. En fait, les opérateurs éludaient ceci et plaçaient les doigtées artisanalement, après avoir flasché et développé le film, à l'aide de films dépelliculables* utilisés initialement pour les corrections éventuelles. Une vrai négation de la modernité !
Une erreur de saisie est vite arrivée surtout quand on se souvient que les opérateurs travaillaient pratiquement en aveugle ( les écrans qui nous sont si familiers étaient rares sur les calculateurs de l'époque, la technologie qui permet d'y afficher des lignes de caractères ou de signes étant balbutiante ).
Avec l'arrivée de la micro, les logiciels éditeurs ont traité avec plus ou moins de bonheur ce problème ( plutôt avec moins d'ailleurs ) ou l'ont carrément zappé. Celui qui trouvera le bon algorythme pour implémenter correctement ceci aura droit à la reconnaissance éternelle de tous les musiciens ;) car il faut un peu résoudre la quadrature du cercle : pas de collisions, être correctement positionné par rapport aux notes sans ambiguité possible et sans transformer la mesure en fatras illisible.
* film spécial** dont la couche photosensible est détachable et transférable sur un autre film ou les anomalies ont été effacées par grattage. C'était le seul moyen rapide de ne pas avoir à ressaisir et refaire le film. Ceci pour de petites erreurs. Pour rattage plus important, la saisie etant mémorisée sur une bande perforée qui a malheureusement enregistré l'erreur, il n'y a pas d'autres moyens que d'y couper la zone en erreur, recoller un bout de bande vierge, et ressaisir la partie défectueuse en gardant à l'esprit qu'il n'est pas très facile de débugger une bande perforée ( c'est-à-dire trouver la zone de l'erreur ) et reflasher le film. Quand aux calculateurs enregistrant sur bande magnétique autant oublier tout espoir de correction : il fallait tout ressaisir et reflasher...
**Accessoirement cette technique de film transfert à inspirer les transferts Letraset et Mecanorma utilisés par les graphistes.
En réponse à Le graveur les place par [DELETED] 15468
@jall2 Tu sais que tu devrais écrire un bouquin sur le sujet? C'est fascinant.
Pour les anglophones, cette série de reportage est très intéressante : http://podcast.open.ac.uk/pod/ta212-music-printing